A propos du clenbutérol

Effet du clenbutérol sur la combustion des graisses

Le clenbutérol https://supersteroid-fr.com/ a un effet prononcé sur les récepteurs bêta dans les muscles et les tissus adipeux de notre corps.  Il est capable d’induire une thermogenèse, d’augmenter le taux métabolique d’environ 10 % et d’élever la température corporelle jusqu’à un demi-degré.

 

 

Le klebutérol est souvent utilisé comme alternative aux stéroïdes, notamment pendant la GCS, en raison de sa capacité à préserver les muscles, c’est-à-dire comme anti-catabolique. Dans une faible mesure, mais toujours avec des propriétés anabolisantes, le médicament a un effet anabolisant, c’est pourquoi on l’appelle un «stéroïde non stéroïdien».  Il convient particulièrement aux culturistes «naturels» qui cherchent à améliorer la croissance musculaire naturelle, la force et l’endurance.

 

La plupart des actions dans le corps causées par le clenbutérol peuvent être divisées en sept types principaux :

 

• Excite l’activité périphérique de certains types de muscles lisses, tels que les vaisseaux sanguins alimentant la peau, les reins, les muqueuses, les glandes salivaires et sudoripares.

• Présente des propriétés d’inhibition périphérique de certains autres types de muscles lisses tels que la paroi intestinale, l’arbre bronchique et les vaisseaux sanguins alimentant les muscles squelettiques.

• Stimule l’activité cardiaque, augmente le rythme cardiaque et la contractilité.

• Démarre les processus métaboliques, augmente le taux de glycogénolyse dans le foie et les muscles et favorise la libération des acides gras du tissu adipeux.

• Actions endocriniennes telles que la modulation de la sécrétion d’insuline, de rénine et d’hormones hypophysaires.

• Actions liées au système nerveux central, à savoir la stimulation de la respiration, entraînant une augmentation de la vigilance, de l’activité psychomotrice et une diminution de l’appétit.

• Action présynaptique, inhibant la libération de neurotransmetteurs tels que la norépinéphrine et l’acétylcholine.

Le clenbutérol est un sympathomimétique bêta-2 sélectif qui affecte principalement un seul des trois sous-groupes de récepteurs bêta. Le fait que ce médicament stimule faiblement l’activité du bêta-1 est particulièrement intéressant.  Comme les récepteurs bêta-1 sont liés au cœur, cela permet au clenbutérol de réduire l’obstruction réversible des voies respiratoires (effet de stimulation bêta-2) avec beaucoup moins d’effets secondaires cardiovasculaires que les bêta-agonistes non sélectifs.

Clenbutérol. Utilisez

La question «comment prendre du clenbutérol ?» – est assez commune, complexe et aussi assez individuelle.

Clenbutérol largement distribué dans un dosage de 0,04 mg par comprimé.  Les scientifiques ont constaté que l’effet anabolisant-catabolique atteint sa limite après une utilisation quotidienne pendant 18 jours. Les récepteurs bêta des cellules musculaires sont alors saturés au maximum, un processus qui se déclenche après 14 jours d’utilisation. Pour bien comprendre, la saturation maximale des récepteurs bêta par le clenbutérol n’est pas un bon signal. Une fois saturés, les récepteurs bêta ne reconnaissent plus le clenbutérol comme un stimulant et ses effets cessent.

Afin de ralentir autant que possible le processus d’adaptation des récepteurs, un schéma de dosage spécifique a été créé : le cycle d’impulsion. Le clenbutérol est pris pendant deux jours, suivis d’une pause de deux jours. En alternant les jours de prise et les jours de repos, vous pouvez obtenir un cycle efficace plus long – jusqu’à un mois, mais dans ma pratique, ce schéma est non seulement obsolète, mais même après 14 jours, il ne fonctionne que de 20 à 30 %, ce qui n’est pas aussi efficace. Le clenbutérol en solo ne peut pas atteindre son plein potentiel, et il existe aujourd’hui une combinaison plus rationnelle avec un agent antiallergique, un stabilisateur de la membrane des mastocytes qui coûte un centime, le kétotifène.

Le kétotifène est prescrit pour restaurer les récepteurs saturés par la substance active de l’érable, ce qui augmente son efficacité et prolonge son action. Dans ce faisceau, le kétotifène doit être pris à la fois pendant le cours et entre les cours. Mais quel que soit votre désir de prolonger la durée d’utilisation, il est conseillé de ne prendre le kétobutérol que pendant deux semaines, car le quatorzième jour d’utilisation entraînera d’une manière ou d’une autre une tolérance à la substance active, et l’effet du clenbutérol sera réduit, voire arrêté. A partir de la troisième semaine, il est nécessaire de ne pas arrêter la prise de kétotifène, qui dure une quinzaine de jours, après quoi la prise de clenbutérol est reprise. Une pause sans prise de ketotifen est inutile. Sans kétotifène, l’intervalle entre les traitements doit être d’au moins 4 semaines. Jusqu’à 5 cycles peuvent être pris de cette manière.

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